Derache/Fernandez "Gravé dans le sable" d'après Michel Bussi
Bande dessinée
Philéas
Paru le 29 Octobre 2020
128 pages
Résumé:
Quel est le prix d'une vie ? Pour Lucky, joueur ayant la chance du diable, la mort est un jeu comme un autre. Alors, en juin 1944, à la veille du débarquement en Normandie, il n'hésite pas à miser sa vie pour une hypothétique fortune. Lucky va perdre la vie, persuadé que sa sublime fiancée Alice Queen empochera la mise... Mais ce n'est que 20 ans après la mort de son amour qu'Alice va découvrir des bribes de vérité... Et encore, comment le prouver ?
De la Normandie aux États-Unis, Alice se lance en quête du rétablissement de la mémoire de son homme... au risque de réveiller les démons du passé. Autour d'elle, chacun croit détenir la vérité et semble résolu à tuer pour la protéger.
Mon avis:
L'histoire s'ouvre sur le 06 Juin 1944 lors du débarquement en Normandie. Alice est la femme de Lucky ranger intrépide, mort lors du débarquement.
Une jeune Normande, Lison, recueille et soigne un des rangers, meilleur ami de Lucky et en tombe folle amoureuse mais celui-ci repart aux EU.
1964. Alice n'a jamais pu faire le deuil de Lucky. Elle découvre que celui-ci est mort par un contrat de jeu, il a pris la place d'un autre contre une grosse somme d'argent, argent qu'elle n'a jamais eu. Elle engage un détective. L'enquête commence. Le destin d'Alice et Lison est lié. Mais, cette quête n'est pas vu d'un bon oeil et un tueur à gages fait le ménage... La vérité doit être cachée mais qui la détient vraiment?
Un roman en bande dessinée est une chose difficile mais c'est très réussi avec celui-ci. Les illustrations sont ancrées dans l'époque de l'histoire. J'ai pris plaisir à les regarder au fur et à mesure de ma lecture. Mon mari l'a lu également et a adoré. Secrets, action, maniguances... sont au rendez-vous. Dans la vie, on revient forcément à un moment donné au point de départ et la vérité peut enfin éclater... Merci à la maison Philéas d'avoir édité cette bande dessinée d'après le roman incontournable de Michel Bussi.
À bientôt,
Elodie