Jean-Christophe Deveney/Valentin Varrel "Jeanne desEmbruns"T02
BD
Glénat
Paru le 09 Octobre 2024
144 pages
Résumé:
La paix impossible
Trois ans ont passé depuis la rencontre de Jeanne des Embruns avec les siréniens. Bannie par le peuple des mers, la jeune femme désespère de ne jamais les revoir. L’irruption sur son îlot natal de Zacharie Roseau, un explorateur fasciné par le royaume sous-marin, relance Jeanne dans leur sillage. Ensemble, ils partent à la recherche de la cité engloutie d’Orichalque et font émerger un danger nouveau : l’harmonie de l’océan est fragilisée, le « temps des Abysses » menace les humains comme les siréniens. Pour Jeanne, Abyss et Écume, il est temps de s’unir pour partir à la rencontre de l’Empereur Marin, l’homme le plus puissant des sept mers. Mais alors que Jeanne vient porter une parole de paix et d’espoir, nombreux sont ceux, dans les méandres de la Cour Impériale, qui prêchent la guerre et le chaos.
Mon avis:
Jeanne des Embruns fait la connaissance de Zacharie, un philosophe voyageur, qui lui dit qu'une légende raconte qu'une cité nommée Orichalque trône au milieu des mers. Accompagnée de ce voyageur et de son père, Jeanne part à la recherche de cette cité. Elle apprend alors qu'une menace risque d'engloutir toute vie dans les Abysses et seule une alliance pourra sauver le monde. Pour cela, elle doit emmener le Coeur de Corail à l'Empereur marin. Hélas, tout ne va pas être simple. La guerre est sur le point d'éclater entre le peuple des mers et le peuple des terres...
Voici le deuxième tome de la série Jeanne des Embruns. C'est parti pour de nouvelles aventures sur terre comme sous la mer. J'adore cet univers, ces créatures fantastiques, l'intrigue qui nous plonge dans un monde enchanteur fait de légendes. Les illustrations aux couleurs chaudes sont un réel plaisir pour les yeux. Cette BD est une belle réflexion sur l'avenir des océans, sur la protection du monde marin, sur la paix entre les peuples. La fin est tout en émotions. Je me demande ce que nous réserve le dernier tome.
À bientôt,
Elodie